10 PRODUITS essentiels à connaitre en bourse

10 PRODUITS essentiels à connaitre en bourse

Quels sont les produits débutants, intermédiaires, avancés?
Qu’est-ce qu’un produit “simple”, “collectif” ou “dérivé”?
Comment choisir le produit qui vous correspond?

Il existe une multitude de produits en bourse, aux noms tous aussi barbares les uns que les autres. Heureusement les produits les produits les plus importants auxquels vous avez accès sont découpés en 3 principales catégories:

  • Les produits “simples”
  • Les produits “collectifs”
  • Produits “dérivés” ou “exotiques”

Pour une liste plus exhaustive mais moins détaillée, je vous invite à lire: Les principaux instruments financiers.

Les produits “simples”

Produits boursiers simples

Ces produits sont appelés “simples” et non complexes car ils ne combinent pas d’autres produits ou ne dérivent pas d’autres produits. Ils sont la forme la plus pure et la plus basique que vous puissiez trouver.

Vous pouvez acheter et revendre ces produits (ou ces actifs) en direct avec paiement comptant au départ. Le paiement comptant signifie que vous avez la totalité de l’argent sur votre compte pour vous permettre d’acheter ces produits, sans passer par un emprunt.

Regardons maintenant 3 produits essentiels dans les produits “simples”…

Les actions

Commençons donc pas le produit simple… le plus simple: les actions!

Elles sont appelées “shares” en anglais et “stocks” en américain. Ne soyez donc pas perturbé par les deux noms différents pour la même chose 😉

Les actions représentent une partie de l’entreprise qui peut être achetée et revendue. En échange de cet achat (initial sur le marché primaire, ou par la suite sur le marché secondaire) et pour récompenser l’actionnaire de sa “générosité” et du risque qu’il prend, elles permettent de percevoir une partie des bénéfices de l’entreprise qui est derrière, sous la forme de dividendes.

Elles offrent aussi le plus souvent (mais c’est pas toujours le cas) des droits de vote qui permettent d’influencer les décisions stratégiques de l’entreprise. Pour ça, il faut avoir une grande quantité d’actions de l’entreprise!

Ces actions et selon l’entreprise, son secteur d’activité, sa santé économique, etc. peuvent être peu risquées ou au contraire extrêmement risquées. C’est pour ça qu’il est faut de généraliser sur le fait que toutes les actions sont moins risquées que les obligations ou autres. Dans l’ensemble, c’est vrai, mais certaines actions sont beaucoup moins risquées que certaines obligations et inversement.

Les obligations

Je viens de parler de nouveau des obligations, alors regardons en quoi elles consistent. Les obligations se disent “Bonds” en anglais.

Les obligations sont des prêts réclamés par des entreprises, des états ou d’autres entités. La personne qui achète une obligation en fait prête de l’argent à une autre entité. Cette autre entité devra rembourser ce prêt et payer des intérêts à la personne qui lui a prêté l’argent.

Les obligations permettent donc de gagner des intérêts régulièrement (c’est une promesse), un peu comme les dividendes des actions. Ces intérêts sont non garantis, par contre ils sont prioritaires par rapports aux dividendes des actionnaires. Ils sont donc versés en premiers, avant même que l’entreprise puisse considérer avoir des bénéfices et les verser sous forme de dividendes aux actionnaires.

Les obligations peuvent aussi permettre parfois de gagner en valeur, un peu de la même manière que les actions.

Comme on l’a vu précédemment, elles sont généralement moins risquées que les actions et donc aussi moins rémunératrices (même si l’entreprise fonctionne très bien et fait de gros profits). Mais une fois de plus certaines obligations sont beaucoup plus risquées que certaines actions.

Les devises

Les devises correspondent aux monnaies et s’appellent “Currencies” en anglais.

Elles s’échangent sur le Forex, c’est le marché international pour les devises (“foreign exchange” en anglais). Il est aussi connu sous le nom “FX”.

Les devises s’échangent par paire: EUR-USD, USD-GBP, etc. puisque c’est comme si vous échangiez des EUR pour des USD, des USD pour des GBP, etc.

C’est un des plus gros marchés au monde en terme de nombre de transactions qui sont effectuées chaque jour, c’est aussi un marché très volatile.

Les devises évoluent en fonction des mouvements macro-économiques, qui sont difficiles à comprendre et à maitriser.

Contrairement à la plupart des autres produits, les devises s’échangent 24h / 24, 7 jours / 7. Le marché du Forex ne dort jamais! Et nombreux sont ceux qui s’épuisent sur ce marché pour cette raison.

C’est d’ailleurs le plus gros cimetière pour les débutants, après peut-être les options binaires qu’on verra plus loin…

Les produits “collectifs”

Produits boursiers collectifs

Ensuite, il existe les produits dits “collectifs”. Ils portent ce nom car il contiennent une collection d’autres produits, simples ou collectifs à leur tour. Ils permettent aussi de regrouper plusieurs personnes pour pouvoir les acheter. Il y a donc une notion de gérant derrière ces produits qui va collecter les fonds de plusieurs personnes pour acheter et revendre plusieurs autres produits.

Vous pouvez donc acheter et revendre ces groupements de produits, de nouveau avec un paiement comptant au départ.

Les produits “collectifs” essentiels qu’on va voir sont: les fonds et les trackers / ETFs.

Les fonds

Alors qu’est-ce qu’un fond? C’est un investissement collectif qui est opéré par un gérant.

Ces fonds sont aussi appelés OPCVM en France pour “Organisme de placement collectif en valeurs mobilières”. Cet acronyme inclut aussi bien les SICAV (“société d’investissement à capital variable”) et les FCP (“Fonds communs de placement”). Les différences sont plutôt subtiles entre les deux, alors je ne vais pas rentrer dans les détails et les nuances.

Un fond peut être constitué de différents produits simples de bourse ou de produits collectifs comme des actions, des obligations, d’autres fonds, etc.), ou bien même d’un mélange complet.

Le gérant fait ce qu’il veut en suivant quand même certaines directives qu’il a au préalable communiquées pour que l’investisseur sache grossièrement dans quoi il investit comme par exemple un fond spécialisé sur la zone Europe, ou sur le secteur automobile, etc.

Ce produit permet donc de facilement se diversifier, même très tôt en débutant en bourse ou avec un faible capital. Il suffit par exemple de décider de verser régulièrement 50€ tous les mois sur un fond précis, et cette petite somme sera au final répartie sur plein d’actions ou autres par le gérant au sein de son fond.

Mais ce travail effectué par le gérant a un coût supplémentaire, pour une performance qui n’est pas toujours au rendez-vous, loin de là. Il est bien connu qu’environ 90% des gérants n’arrivent pas à faire mieux que les indices de référence sur lesquels ils se basent pour les battre.

Ça ne veut pas dire que vous qui n’êtes pas gérant n’avez aucune chance de faire mieux! Vous avez de nombreux avantages sur ces gérants comme la flexibilité de vos choix et la motivation d’avoir réellement une bonne performance (car c’est votre argent) et pas seulement de l’argent qui tombe tous les mois ou tous les ans avec des frais de gestion.

Les trackers / ETF

Les trackers sont un type spécifique de fond pour suivre un indice en particulier. Les trackers sont aussi appelés “fonds indiciels” ou ETF pour “Exchange-Traded Fund” en anglais.

Un indice est un ensemble de valeurs cotées.

Le CAC40 par exemple, regroupe les 40 plus grosses capitalisations sur le marché français. Il existe donc des trackers ou ETFs qui répliquent la performance du CAC40, mais aussi d’autres indices comme le Dow Jones, le FTSE100, etc.

Le gérant du tracker s’occupe d’acheter les sous-jacents qui rentre dans la composition de l’indice de référence et de revendre les sous-jacents qui en sortent. La gestion est donc vraiment très légère et les frais qui en découlent sont par conséquent très faibles.

Les trackers s’échangent en continue au cours de la journée.

Produits “dérivés” ou “exotiques”

Produits boursiers complexes

Comme le nom l’indique, ces produits dérivent d’autres produits (simples, collectifs… ou dérivés!). Vous imaginez que le produit peut rapidement devenir complexe et plus personne n’a la moindre idée de ce qui est à l’intérieur.

Par exemple, un produit dérivé peut contenir en autres, un autre produit dérivé, qui lui dérive à son tour d’un fond collectif, qui lui contient d’autres fonds collectifs, etc. Un véritable sac de noeuds!

Et du coup, il est quasiment impossible de réellement connaitre le risque de tels produits. Cette complexité explique en partie la crise des subprimes où mêmes les experts et ceux qui avaient créés certains produits ultra complexes ne les comprenaient même plus 🙂

Vous pouvez donc acheter et revendre un tel produit, généralement au travers d’un contrat basé sur l’évolution d’un ou de plusieurs sous-jacent (c-à-d les produits qui le constituent).

Dans ce cas, le plus souvent vous devez seulement effectuer un faible paiement initial. Ça signifie que vous faites recours à un crédit. Ce crédit est aussi appelé marge ou effet de levier, comme avec un prêt immobilier auprès d’une banque.

Avec un prêt vous pouvez au maximum emprunter en gros 10 fois votre apport, ça constitue donc un effet de levier de 10. Avec les produits dérivés, vous pouvez utiliser un effet de levier de 20, 30, 50 et prendre un risque beaucoup plus important et totalement démesuré!

Vous pouvez donc perdre beaucoup plus que l’argent que vous avez réellement! La notion de temps est aussi très importante pour les produits dérivés, comme elle l’est tout autant avec un prêt immobilier.

Voici les principaux  produits complexes qu’on va voir: les options, les options binaires, les futures, le spread betting et les CFDs.

Les options

Une option est un contrat qui donne le droit, mais pas l’obligation, d’acheter ou de vendre un instrument financier à un prix fixé au départ, avant une certaine date d’échéance, qui est aussi fixée au départ.

Le mieux pour expliquer ce concept un peu compliqué c’est de prendre un exemple concret plus proche de ce que vous connaissez certainement: vous pouvez par exemple payer 1 000€ maintenant pour avoir la garantie de pouvoir acheter une maison à 200 000€ dans les 2 mois qui suivent au maximum.

En faisant ça, vous vous protégez contre une éventuelle augmentation du prix. Sans cette sorte d’assurance, vous acceptez le fait que le prix de la maison peut sérieusement monter ou baisser. Si un mois plus tard, vous avez enfin la totalité des fonds pour acheter cette maison mais que le prix est passé à 220 000€, vous êtes cuis, il va falloir payer 220 000€.

Avec l’assurance, l’option, la maison vous aura couté 201 000€ et pas plus. C’est donc un excellent moyen de verrouiller un prix, surtout si vous anticipez qu’il va grimper!

Une option peut s’acheter et se revendre par la suite, avec un prix qui fluctue en fonction du temps.

Vous l’avez compris, les options sont au départ des assurances. Elles sont devenues par la suite des instruments importants de spéculation.

Comme on l’a vu avec l’exemple de la maison, la notion de temps a un fort impact sur le cours d’une option. C’est pourquoi une option peut perdre toute sa valeur à expiration.

Dans notre exemple avec la maison, au bout de 2 mois, si vous n’avez toujours pas acheté la maison, que vous avez toujours votre option et que la maison coute maintenant 180 000€, combien vous croyez que votre option vaut?… 0!

Qui voudrait vous acheter cette option de pouvoir acheter cette maison à 200 000€ maintenant que l’option expire et que la maison vaut 180 000€? Personne!

Il existe un autre type particulier d’option et ce sont les warrants. Ces options sont émises par la société qui émet les mêmes actions sous-jacentes et ne sont pas des produits structurés et crées par des organismes financiers. Par exemple Microsoft peut émettre des warrants pour acheter des actions Microsoft. À part ça, le fonctionnement des warrants et des options est identique.

Les options binaires

Je vais terminer le sujet des options, avec un autre type particulier d’options, très populaire en France. Ce sont les options binaires. C’est donc aussi un produit dérivé.

Ces options binaires sont ou bien gagnantes, ou bien perdantes. Si le cours du sous-jacent atteint un certain seuil fixé à l’avance, à une date d’échéance précise, aussi fixée à l’avance, alors elles sont gagnantes. Sinon elles sont perdantes.

Par exemple, vous pariez que l’action X, qui cote actuellement 42€, atteindra les 44€ à l’échéance dans 2 jours. Si c’est le cas, vous récupérez votre mise et vous gagnez un montant supplémentaire, pouvant aller jusqu’à 80%-90% de votre mise. Dans notre exemple, ça ferait 80€-90€ maximum.

Si le scénario n’est pas bon, donc dans notre exemple, le cours est en-dessous des 44€ 2 jours plus tard, alors vous perdez toute votre mise, donc les 100€.

Il faut non seulement avoir raison sur la direction de la position à prendre, mais aussi sur le temps et le cours fixés à l’avance.

Pour un instrument qui semble très simple au premier abord, il y a beaucoup de conditions à remplir pour avoir raison et donc gagner de l’argent.

En plus, statistiquement, les chances sont totalement contre vous.

Ce produit est le paradis des courtiers, mais c’est l’enfer des débutants et une véritable arnaque! Je ne peux que vous conseiller de les éviter et de les oublier pour toujours.

Les futures

Les futures sont des contrats entre deux partis, pour effectuer une transaction future, à une date et un prix négociés au départ.

C’est donc aussi un produit dérivé, qui s’échange sur les Marchés à terme. Les futures sont aussi appelés contrat à terme en français.

Les sous-jacents de ces contrats à terme peuvent être des matières premières (comme l’acier, le pétrole, etc.), des denrées (comme le blé, le maïs, le soja, etc.), ou des métaux précieux (comme l’or et l’argent).

Contrairement aux options, il est impossible de se désengager de ce contrat.

Il est possible de perdre beaucoup plus que votre capital initial à cause de l’effet de levier qui est derrière.

Les futures nécessitent un capital élevé pour démarrer avec environ plus de 20 000€ en général. Ce N’est donc PAS un produit adapté aux débutants.

Le spread betting

Vous avez peut-être déjà entendu parler de ce type de produit. C’est un produit qui montre de gros avantages, MAIS il y a un ÉNORME inconvénient.

Le nom anglais signifie littéralement que vous pouvez parier sur un spread, donc un écart.

En fait, ce produit vous permet de parier sur les mouvements futurs d’un produit simple ou dérivé, aussi bien à la hausse qu’à la baisse.

Il s’agit donc de nouveau d’un produit dérivé… Mais IL EST INTERDIT EN FRANCE! Qu’est-ce que ça veut dire “interdit en France”? Tout simplement que les RÉSIDENTS français n’ont pas le droit d’utiliser ce genre de produit. Peu importe votre nationalité. Peu importe où vous travaillez. Peu importe où se trouve la société qui vous propose le service.

Cette société est un bookmaker au passage, et pas un courtier, puisque le bookmaker prend la position opposée à la votre. Si vous êtes résident français et que vous vous faites convaincre par un bookmaker d’utiliser ce produit, sachez que vous le ferez dans la plus grande illégalité, à vos risques et périls. Et bon courage pour déclarer vos gains… qui seront illégaux!

Les gains ou les pertes sont un multiple de la mise de départ. Il y a donc une notion d’effet de levier importante, mais qui n’est pas obligatoire à utiliser. Vous pouvez très bien utiliser un effet de levier de 1.

Le spread est toujours plus large que le sous-jacent en direct auprès d’un broker. C’est principalement de cette façon que les bookmakers font leur argent. Ils ont aussi accès à tous les ordres d’achat et de vente de leurs clients en interne, il leur est donc plus facile de prendre les positions inverses.

Vous pouvez placer un pari avec une faible mise initiale qu’il faut rapidement combler par la suite si le pari évolue contre vous (c’est à cause de la marge, aussi appelée crédit ou effet de levier). Vous pouvez donc gagner beaucoup plus que votre mise initiale, mais aussi perdre beaucoup plus.

Voilà maintenant le GROS avantage et la raison pour laquelle tellement de résidents français veulent utiliser ce produit: Pour les résidents des pays où le produit est autorisé, les gains ne sont pas taxés. C’est le cas par exemple pour les résidents du Royaume-Uni car le spread betting est considéré comme du jeu ou du pari en ligne, et pas de l’investissement, ni de la spéculation.

Donc si vous êtes résident d’un pays qui n’autorise pas le spread betting (et c’est le cas pour les résidents français, je ne sais pas pour tous les autres pays du monde), alors passez votre chemin si vous ne voulez pas avoir de sérieux ennuis par la suite.

Quel est l’intérêt de gagner de l’argent, de ne pas être taxé, et de finir ses jours en prison ou bien d’être obligé de tout rembourser avec une belle amende en bonus?

Les CFDs

Le dernier produit dérivé que je vais aborder, ce sont les CFDs. Alors CFD ça signifie “Contract for difference” en anglais, donc littéralement “un contrat pour la différence”. C’est un contrat sur la différence entre un prix d’achat et un prix de vente d’un sous-jacent en particulier.

Ce produit est similaire au spread betting. Il s’agit donc bien d’un produit dérivé. Mais contrairement au spread betting, il est autorisé aux résidents français cette fois, mais est malheureusement taxé de la même manière que les actions au sein d’un compte titres.

Votre position reste ouverte jusqu’à ce que:

  • Vous décidiez de la clôturer (c’est le scénario favorable, même si vous êtes en perte), ou bien
  • Vous ne pouvez pas répondre à un appel de marge, et là c’est jamais bon! Ça veut dire que vous êtes en grosse perte et qu’il faut éponger rapidement en alignant la carte bleue. Pas génial du tout!

Des intérêts sont appliqués sur les positions longues (c’est-à-dire à l’achat) qui peuvent vite chiffrer (parfois plus cher que le sous-jacent en direct).

Une fois de plus, l’effet de levier est TRÈS dangereux à manier et je vous le déconseille fortement si vous débutez.

Pour conclure

Si vous débutez en bourse, restez sur les produits “simples”. C’est seulement une fois que vous maitrisez bien ces produits que vous pouvez envisager d’attaquer les autres produits collectifs ou même les produits dérivés. Ces derniers ne sont pas à mettre entre toutes les mains et sont à manipuler avec la plus grande précaution pour ne pas se brûler les mains…

C’EST À VOUS: Quels sont les produits essentiels en bourse sur lesquels vous opérez?

Crédits photo: © nobeastsofierce, Sergej Khackimullin, Cosma – Fotolia.com

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6 réponses

  1. Bonjour Ben,

    Tout d’abord merci pour cet article très complet ! Personnellement, je suis plutôt investissements “classiques” type actions/obligations, je me suis rarement aventuré sur d’autres types de produits. Comme toi, je conseillerais aux débutants de rester sur les produits simples type action, le côté “tangible” (on achète une part d’entreprise) a pour moi quelque chose de rassurant.

    Cordialement,

    Nicolas @ Objectif10%

    • image Ben de Bourse Ensemble dit :

      Salut Nicolas,

      Je comprends ton point de vue sur l’aspect “tangible” d’une action même si cela reste une assez grande illusion 😉

      Ben

  2. Salut Ben,

    Les actions sont à privilégier pour des investisseurs souhaitant prendre de tous petits risques et pourquoi pas faire de belle plus-values.
    Les trackers et les Sicavs sont également des produits intéressants pour des investisseurs ne souhaitant pas gérer un portefeuille régulièrement et seulement une fois par mois. Les plus-values peuvent être aussi intéressantes avec ces produits.
    En ce qui concerne les autres produits, ils sont pour moi sans grand intérêts et s’adressent uniquement aux spéculateurs !!!

    Alex

  3. Salut Ben!

    Pour ma part, je me consacre à 100% aux actions et à l’immobilier. c’est ce dans quoi j’excelle et mon enrichissement se fait `un rythme que je juge assez rapide. Je n’ai nul besoin de prendre des risques inutiles avec les autres véhicules proposés.

    Je m’en tiens donc à ce que je connais et maîtrise le mieux. La spéculation je laisse ça aux autres 😉

  4. image Cédric G dit :

    Le Forex et pour moi le meilleur produite en bourse. Comme dit dans l’article, le Forex est tradable 24h/24, les personnes tradant donc à côté de leur activité principale peuvent donc tout à fait trader le Forex en soirée, la nuit comme tôt le matin. C’est un avantage considérable pour celles et ceux qui ont pas mal de contraintes.

    • image Ben de Bourse Ensemble dit :

      Salut Cédric,

      Ce que tu dis est partiellement vrai… Il est tout à fait possible d’opérer sur les actions ou autres actifs quand les marchés sont fermés. C’est d’ailleurs ce que je recommande particulièrement 😉

      Un trader célèbre qui a d’ailleurs sérieusement expérimenté à ce sujet et à ses dépens est Nicolas Darvas que j’ai couvert dans “Comment j’ai gagné 2 000 000$ en Bourse“.

      Ben

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